La fête de l’an neuf

2007-01-09 21:48:01 a écrit:

La fête de l’an neuf

PARIS (AAP) - Les festivités de la Saint-Nicolas passées, l’Office des Cérémonies a décidé de mettre à l’honneur des réjouissances qui animent la Capitale depuis le vingt-sixième de Décembre et qui se concluront septième de Janvier pour fêter l'an neuf.
Messire Anthony de Massigny, dit le Wulfen, en est le Maître des Cérémonies, Dame Numalane de Massigny son assistante.

Les festivités ont débuté par une fête foraine, dont les meilleurs artistes, trouvères, troubadours et ménestrels ont eu l’honneur de s’être vu conviés pour présenter à la Cour leurs magistrales performances. Dame Wiatt les représente en tant que maître troubadour.

Les joutes de l’épiphanie ont également débuté. Elles réunissent les meilleurs jouteurs du royaume, arborant leurs armes avec fierté, sous l’œil de Dame Numalane de Massigny et de Dame Morgwen d’Arduilet, Juges diseurs de ces joutes, qui ont eu respectivement en charge l’épreuve de la quintaine et de l’anneau. Le vainqueur des joutes se verra remettre le heaume d’or, qui avait été remporté par Messire Knightingale, Duc de Valmorey, lors des joutes de la saint Antoine.

Durant ces festivités, un hérétique du nom d’Eldwen sera exécuté, sur la place de l’hôtel Dieu à Paris. Il serait membre des In Tenebris et est accusé d’avoir incendié la cathédrale de Vienne, dans le Lyonnais et Dauphiné. Il a été capturé par un templier, prévôt de son état, dont l’ordre l’a mené jusqu’à la bastille.
Il sera exécuté par décapitation par le bourreau du Lyonnais et Dauphiné, Messire Volverine de Peyrins.

Carnil d’Artas, pour l’AAP