bilan financier champagne
Page 1 sur 1
bilan financier champagne
Rapport financier de mi-mandat : Avril-Mai 1455
I - La trésorerie
Commençons par ce qui intéresse tout le monde : la trésorerie! Le graphe ci-dessous montre l'évolution entre le mois d’août dernier. On se rend bien compte des progrès qui ont été effectués depuis le début de l’année 1455. La partie rouge de la courbe représente le premier mois de ce mandat. Nous suivons donc toujours la pente de bénéfices, ce qui est très encourageant, vu que des dépenses non négligeables ont été ajoutée (baisse des impôts de mairies par ex…). Il faut toutefois noter que notre trésorerie sera amputée d’environ 25% de son total (estimation haute) du au Bug lévanesque du payement des maréchaux. Cela ne nous mettra donc pas en difficulté.
Le deuxième graphe est un zoom sur ce dernier mois. On se rend compte du caractère chaotique de la trésorerie. Il est donc impossible de faire de prévision journalière, pas plus que de prévision hebdomadaire. Nous allons voir pourquoi dans la suite. Cela montre bien la nécessité de poursuivre cette étude sur les 2 mois du mandat, et même au delà, afin de pouvoir moyenner et ainsi d'obtenir une évaluation fiable de l'état de santé financière de notre Duché.
II - Bénéfices et pertes
Dans le graphe suivant sont identifiés, pour chaque semaine, les domaines qui rapportent de l'argent et ceux qui en coûtent au Duché.
Ainsi, les revenus des mines contiennent les écus, provenant des mines d'Or et les bénéfices de la vente des pierres et du fer. De même, le domaine « Animaux » est égal à la somme des ventes n’animaux vendus aux éleveurs, moins la valeur des sacs de blé et de maïs qui ont servi à nourrir les bêtes.
La case "Commerce" contient tous les autres mouvements de marchandises (intra et extra-Duché). Puisque le Duché vend rarement à perte, et qu'il n'a pas vocation à entasser indéfiniment des marchandises, la case "Commerce" est censée être positive au final. Cependant, elle est évidemment directement liée à la valeur du stock. Un commerce fortement déficitaire signifie une forte hausse de la valeur de notre stock, et inversement.
On se rend compte que :
- Les impôts sont ponctuels, ça n'est pas une surprise.
- Les sources régulières de bénéfices et de pertes oscillent peu. Il va donc être facile de les évaluer en moyennant tout ceci sur un mois (on le voit mieux sur le graphe sans le commerce, ci-dessous).
- Le "Commerce", lui, oscille énormément. Au delà même des plus grosses sources de bénéfices et de pertes. D'où la nécessité de moyenner sur une longue période, car un mois ne suffit pas.
III - Prévisions pour le prochain mois
On peut donc moyenner tout ça sur le mois, et ainsi tenter de prédire ce qui va se passer dans le futur (sorcellerie!), à commencer par le mois prochain.
On a donc vu que la plupart des sources de bénéfices et de pertes étaient assez prévisible. Pour les impôts, c'est facile car c'est nous qui fixons la somme (la même formule (la 1) a été choisie ici pour toutes les mairies). La seule interrogation concerne donc le commerce. Afin de ne pas prendre de risque, il est ici évalué à 0, sachant qu'en théorie (voir partie II) cela doit être positif. L’idée est de continuer cette étude assez longtemps pour avoir une estimation fiable des revenus liés au commerce.
En pourcentage, cela donne le graphe suivant. On peut alors évaluer la participation des différentes sources, et ainsi conclure que ce ne sont pas les mairies qui nourrissent le Duché, mais bien les Mines.
Tout ceci nous permet d’évaluer le gain prévisionnel par mois, ce qui est bien pratique pour que le Duché sache où il va, et surtout, quelles dépenses exceptionnelles il pourra se permettre. Evidemment, ces chiffres sont confidentiels.
En conclusion : TOUT VA BIEN !!!
Merci d'avoir tout lu...
I - La trésorerie
Commençons par ce qui intéresse tout le monde : la trésorerie! Le graphe ci-dessous montre l'évolution entre le mois d’août dernier. On se rend bien compte des progrès qui ont été effectués depuis le début de l’année 1455. La partie rouge de la courbe représente le premier mois de ce mandat. Nous suivons donc toujours la pente de bénéfices, ce qui est très encourageant, vu que des dépenses non négligeables ont été ajoutée (baisse des impôts de mairies par ex…). Il faut toutefois noter que notre trésorerie sera amputée d’environ 25% de son total (estimation haute) du au Bug lévanesque du payement des maréchaux. Cela ne nous mettra donc pas en difficulté.
Le deuxième graphe est un zoom sur ce dernier mois. On se rend compte du caractère chaotique de la trésorerie. Il est donc impossible de faire de prévision journalière, pas plus que de prévision hebdomadaire. Nous allons voir pourquoi dans la suite. Cela montre bien la nécessité de poursuivre cette étude sur les 2 mois du mandat, et même au delà, afin de pouvoir moyenner et ainsi d'obtenir une évaluation fiable de l'état de santé financière de notre Duché.
II - Bénéfices et pertes
Dans le graphe suivant sont identifiés, pour chaque semaine, les domaines qui rapportent de l'argent et ceux qui en coûtent au Duché.
Ainsi, les revenus des mines contiennent les écus, provenant des mines d'Or et les bénéfices de la vente des pierres et du fer. De même, le domaine « Animaux » est égal à la somme des ventes n’animaux vendus aux éleveurs, moins la valeur des sacs de blé et de maïs qui ont servi à nourrir les bêtes.
La case "Commerce" contient tous les autres mouvements de marchandises (intra et extra-Duché). Puisque le Duché vend rarement à perte, et qu'il n'a pas vocation à entasser indéfiniment des marchandises, la case "Commerce" est censée être positive au final. Cependant, elle est évidemment directement liée à la valeur du stock. Un commerce fortement déficitaire signifie une forte hausse de la valeur de notre stock, et inversement.
On se rend compte que :
- Les impôts sont ponctuels, ça n'est pas une surprise.
- Les sources régulières de bénéfices et de pertes oscillent peu. Il va donc être facile de les évaluer en moyennant tout ceci sur un mois (on le voit mieux sur le graphe sans le commerce, ci-dessous).
- Le "Commerce", lui, oscille énormément. Au delà même des plus grosses sources de bénéfices et de pertes. D'où la nécessité de moyenner sur une longue période, car un mois ne suffit pas.
III - Prévisions pour le prochain mois
On peut donc moyenner tout ça sur le mois, et ainsi tenter de prédire ce qui va se passer dans le futur (sorcellerie!), à commencer par le mois prochain.
On a donc vu que la plupart des sources de bénéfices et de pertes étaient assez prévisible. Pour les impôts, c'est facile car c'est nous qui fixons la somme (la même formule (la 1) a été choisie ici pour toutes les mairies). La seule interrogation concerne donc le commerce. Afin de ne pas prendre de risque, il est ici évalué à 0, sachant qu'en théorie (voir partie II) cela doit être positif. L’idée est de continuer cette étude assez longtemps pour avoir une estimation fiable des revenus liés au commerce.
En pourcentage, cela donne le graphe suivant. On peut alors évaluer la participation des différentes sources, et ainsi conclure que ce ne sont pas les mairies qui nourrissent le Duché, mais bien les Mines.
Tout ceci nous permet d’évaluer le gain prévisionnel par mois, ce qui est bien pratique pour que le Duché sache où il va, et surtout, quelles dépenses exceptionnelles il pourra se permettre. Evidemment, ces chiffres sont confidentiels.
En conclusion : TOUT VA BIEN !!!
Merci d'avoir tout lu...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|